Justine Mintsa – 1957

Justine Mintsa est une écrivaine Gabonaise. Elle est née le 8 septembre 1957 à Oyem (Gabon). Elle a fait ses études supérieures au Gabon, en France et au Royaume Uni. Elle est membre du Haut Conseil à la Francophonie.  Elle a été Professeure d’Anglais puis Maître Assistant à l’Université Omar Bongo de Libreville. Justine Mintsa a présidé l’Union des Ecrivains Gabonais. Elle dirige aussi une troupe de théâtre « Wolespeare« . Elle a écrit de nombreuses oeuvres pour la jeunesse ainsi que des romans et des essais. Elle est très engagée dans la défense du patrimoine culturel architectural en Afrique Sub Saharienne. Aussi, elle a initié le programme de la caravane littéraire qui permet d’apporter des livres aux écoles de province.

Du fait de son engagement, elle a été faite Chevalier des palmes Académiques (2001), Chevalier de la Légion d’Honneur (2008) en France. En 2003, avec son frère Ngbwa Mintsa, elle écrit le protocole du mariage coutumier. Elle insiste sur le veuvage qui, selon elle, est une partie fondamentale de la tradition tout en étant un joug pour les femmes. En effet, elle est pour la protection de la  tradition tant que cette dernière ne pèse pas sur la vie des hommes et des femmes.

En 1994, elle écrit  un seul tournant Makôsu  sous forme d’un journal dans lequel une jeune femme dépeint, avec beaucoup d’humour  le quotidien problématique des universités  et des étudiants dans des pays en voie de développement

Son roman Premières lectures (1998) est autobiographique. Elle y raconte sa première rencontre avec la lecture. Les joies de son enfance. Son éveil à la poésie et au théâtre. Surtout, l’amour de la lecture dans un milieu social qui ne comprend pas.

Dans le destin d’Awu (2000), elle présente la vie des femmes face à la pression sociale (stérilité, place de la femme, le trio amoureux dans un mariage polygame,). Elle y aborde aussi le statut de la femme-objet, liée à son époux par la dot. Le destin des femmes Gabonaises face aux traditions absurdes. Les injustices administratives et la noirceur de l’âme humaine.

Dans Larmes de cendre (2013) comme d’habitude, elle décortique la tradition. Elle fait référence au veuvage traditionnel, qui selon elle est une identité culturelle

 

 

7 commentaires

  1. Non. Je vous remercie. Je ne lis pas en PDF, votre livre n’est pas édité et je ne suis pas correctrice. Je ne doute pas que c’est un bon roman. Il VOUS reste à faire les démarches de tout auteur: trouver, par vos propres moyens, un éditeur. Je ne peux pas le faire à votre place. Ce n’est pas mon rôle. Bonne chance

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  2. Désolé , mais je peux vous envoyer le roman en pdf puis vous le présenter bah je suis sûr d’avoir de la chance car c’est un très bon roman je vous assure

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  3. Je pense que vous faites erreur. Je suis une bloggeuse et une chroniqueuse. Ce qui signifie que je lis et je parle du livre. Je le présente à d’éventuels lecteurs. Je vis en France. Je ne suis pas Justine MINTSA. J’ai juste fait un article sur elle. Je vous conseille de trouver une maison d’édition au Gabon ou en Afrique. Ce sera plus facile pour vous. Bon courage.

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  4. Je veux que vous me produisiez l’œuvre. Autrement dit, je veux que vous participer à la publication de ce livre s’il vous plaît maman Justine

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  5. Bonjour, je suis un étudiant de l’université Omar bongo et j’aimerais que vous puissiez m’aider car j’ai écrit un roman qui s’intitule : NE JUGE PAS MON PRÉSENT, QUESTIONNE MON PASSÉ

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