Ils rêvaient d’étrangler le jour
Dans la faim noyer ton sourire
Mais l’amour couvait silencieux sous la cendre
La braise brûlante calcinait la nuit.
Mûrie dans la souffrance
Ma puissance et infinie
Je chante pour toi pour tous…
Ton regard d’aigle a chassé les ombres
Porte-moi sur tes épaules géantes
Écoute dans les ténèbres filer les fantômes
Écoute ! La force éclate dans l’aube dépliée
Présence 2002
Merci. Il s’agit d’un vieillard Dogon (Mali). Portrait fait par African Digital Art
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extraordinaire photographie
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