Quatrième de couverture
A travers ce récit, l’auteur rend hommage à sa mère dont le chemine a croisé celui d’un mari tyrannique et bigame. Celle que le destin n’a pas ménagée et pour qui « la thérapie par la plume » fut le seul exutoire à une existence dramatique et tumultueuse. Au fil des pages, s’élève le cri de détresse d’un auteur face à une société figée et qui refuse de quitter un navire qui coule. Issu d’une famille nombreuse et modeste, disloquée une première fois par la guerre d’Algérie, puis par la violence d’un père despotique, l’auteur libère la mémoire de sa mère, figure remarquable, image emblématique de la condition féminine.
Mon avis
1962, la fin de la guerre d’Algérie. L’enfant prodigue est attendu de tous. Sauf de sa femme. Pourquoi? Que redoute t-elle? D’où lui vient cette sourde angoisse? Est-ce l’annonce d’une probable seconde épouse? Sa terreur sans nom ne…
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