Quatrième de couverture

Sougou, le personnage principal, découvre ses premières amours avec Donwi. Amour éphémère parce que Sougou devait continuer ses études en ville et laisser sa dulcinée au bled. Après le baccalauréat, il obtient une préinscription et s’envole pour l’extérieur. Il y rencontre Jacqueline et son coeur ne vibre plus que pour celle-ci. Après leurs études, les deux amoureux rentrent au pays. Que va-t-il advenir de leur désir de se marier ? Donwi va-t-elle rester les bras croisés ? Cette union pourra-t-elle se réaliser ? Le mariage improbable nous plonge dans une contrée en Afrique où la tradition pèse encore lourdement sur le quotidien des populations.

Chroniques

L’amour ne prévient jamais. Sougou le découvrira bien assez tôt. Il tombe amoureux de Donwi, une de ses cousines. Cet amour est-il possible? Ses émois sont-ils partagés? Peu importe car la vie suit son cours. Après des études à l’étranger, Sougou, tout à sa nouvelle vie, devra se confronter à Donwi. Surtout qu’une autre femme intègre le duo. Comment se passera cette confrontation? L’amour est-il toujours présent de part et d’autre? Est-il toujours réciproque?

Le mariage improbable est l’histoire d’un amour entre jeunes gens de la même famille. Des cousins. Un amour interdit par les Ancêtres. Les traditions. C’est l’histoire d’une attente stérile. D’un amour unilatéral. Un amour où les promesses ont été emportées par le temps. Que fera celle qui a attendu face à celle qui veut lui ravir l’homme qu’elle aime? Le destin, une fois de plus, jouera t-il un mauvais tour à ce trio?

La lecture a été laborieuse. Les tournures grammaticales, les nombreux néologismes déroutent le lecteur et lui font perdre le cours de l’histoire. De plus, les concordances de temps sont aléatoires. Ce qui est dommage car l’histoire, à priori, est très belle et sensible. Elle est bouleversante et le lecteur a hâte de connaître le mot de la fin.