Quatrième de couverture

Au cours d’une promenade, Zota Jean est conduit à une « gueuse » par la curiosité de sa fille Elvire qui l’accompagne.Il rejette toute communication avec l’inconnue. Par la suite, sa grand-mère Bikouma, en visite chez lui, qui l’avait élevé et qui avait toujours avoué à son petit-fils qu’il avait très tôt perdu sa mère, reconnaît sa fille dans une rue de la cité où elle séjourne : c’est la pauvre dont Zota Jean avait une fois fait la rencontre.

chronique

Au cours d’une promenade avec son père, Elvire, âgée de trois ans, suit une sans abri Son père arrive à temps pour la sortir des griffes de cette inconnue. Qui est cette dernière? Pourquoi a-t-elle demandé à Elvire de la suivre dans sa cabane en carton? Que voulait-elle? Des questions qui turlupinent Zota, le père de la petite Elvire. A tel point qu’il ne parle à personne de ce kidnapping râté. Est-ce bien raisonnable?

Elvire est une petite fille pour qui la vie est belle et simple. Pourquoi échappe t-elle à tant de tentatives de rapt de la part de cette sans-abri? Pourquoi tant de secrets autour de ces tentatives? Peut-être que cette inconnue ne l’est pas tant que çà? Zota est obligé de se plier aux exigences de sa grand-mère pour qui cette mendiante ne semble pas si inconnue. Alors, débute une nouvelle histoire. Une histoire qui plaira à la petite Elvire et beaucoup moins à son père.

Nous suivons une histoire de famille faite de secrets. Les émotions se bousculent au fil des pages et des chapitres. C’est l’histoire d’une disparition. D’une mort supposée. D’une résurrection incroyable. Les mots sont forts et décrivent si bien les personnages et leurs sentiments. Le voyage auquel nous sommes invités est d’une grande beauté. Au fur et à mesure des pages, nous nous rendons compte qu’il s’agit d’une histoire où interviennent de nombreux secrets.